Déc 23 2010
La vérité sur les RP
Je trouve ça limite en dessous de la vérité 😉
Disclaimer : je connais la personne qui a fait la voix de cette vidéo.
[dailymotion zxiTSajgy00 nolink]
Déc 23 2010
Je trouve ça limite en dessous de la vérité 😉
Disclaimer : je connais la personne qui a fait la voix de cette vidéo.
[dailymotion zxiTSajgy00 nolink]
Déc 20 2010
(Sur l’air de Batman, la série des années 60).
Je ne sais pas si vous avez vu mais ce Week End, on s’est fait taxer un peu plus.
Etes-vous utilisateur de NAS ? de disques durs externe ?
Faites-vous des backups de vos ordinateurs (mac ou pc) ?
Bref, utilisez-vous des supports de stockage ? (si vous lisez ce blog il y a de très très forte présomption). Vous serez heureux d’apprendre que les taxes sur les disques durs augmentent plus que salement !
Le 14 décembre dernier, la Commission copie privée a voté le principe d’un déplafonnement de plusieurs supports : les clés USB, les cartes mémoires et les disques durs externes.
En gros, le prix d’un disque dur de 2 Téra se décompose comme suit:
Prix HT = 70€ (à peu près)
TVA (19,6%) = 13€
Redevance Copie Privée = 38€
Ce qui nous fait 51€ de taxe diverses qui représente +72% sur le prix HT.
Surtout le cout des taxes se rapproche dangereusement du prix HT (on dirait le prix de l’essence presque).
Si mes souvenirs sont bons.
Hadopi est là pour nous empêcher de télécharger. Il est illégal de télécharger des œuvres protégées.
La taxe RCP est là pour rémunérer la copie privée qu’il n’est plus possible d’effectuer (DRM et exception de copie privée de moins en moins acceptée).
Juste … de qui se moque-on ?
Surtout qu’il suffit d’acheter les disques durs à part et des les mettre dans un boitier pour ne pas acquitter cette taxe.
Et juste pour le fun (c’est un peu vieux mais tellement d’actualité)
[youtube at3Mnw1kjSg]
By Stanislas Khider • Découvertes, tendances et société • 1 • Tags: deplafonnement, disque dur, hadopi, Redevance Copie Privée
Déc 11 2010
Mon cher Stan
Je sais que tu travaillais dur tandis que je me pavanais avec « la crème de la crème » (à lire avec un accent anglais) de ce que le digital peut faire sur la planète (et vas y que je me la pète). Bref, tu m’as manqué et on n’a même pas pu faire de conneries reportages de fond comme nous le faisons d’habitude.
Donc, je vais essayer de te raconter à quoi tout cela ressemblait.
Mercredi, ça a été la Guerre des Mondes ! Je suis parti tard et j’ai écouté Carlos Ghon en stream live sur mon ordi et mon téléphone. A ce propos, cette année la vidéo est d’excellente qualité, tout comme la connexion internet que j’ai sur mon pupitre de blogueur accrédité, ça booste un max et je demande si c’est de la fibre (Orange ?) derrière ou bien s’ils ont loué le data center d’Apple.
Intéressant ce qu’il racontait le Carlos. Pour te faire court, il explique pourquoi le métier de constructeur auto est par essence basé sur les plate-formes (ça tombe bien c’est le thème de LeWeb cette année).
[youtube U1LXc0W5qfA]
Donc, arrivé à la Porte de la Chapelle (ils ont quitté le 104 cette année, c’est sympa les Docks mais c’est vraiment le bout du monde), j’ai compris que le métro m’avait transporté plus loin que je ne le pensais : j’étais arrivé en Sibérie.
En fait, j’ai compris ensuite que c’était plutôt le Québec : c’était la faute de Michelle Blanc, Benoit Descary et Claude Malaison entre-autres. J’ai sympathisé avec la Québec Squad, et je confirme qu’ils sont complètement barrés et adorables. Ils te font des bisous (surtout Michelle d’ailleurs).
Dans la série des gens vraiment surprenants,
Bertrand Piccard (rien à voir avec Jean-Luc de Star Trek)
[youtube 0eWHBxpaNbc]
Bon, je te passe Loïc en Angry Birds, tu as dû le voir partout.
Je n’ai pas pu m’empêcher de faire quelques interviews, tu me connais.
Pearltrees
[youtube CXzsM3qLCDw]
Check my metro
[youtube IaDKfeQMXQ0]
En parlant de start-up, il y avait encore cette année un concours avec de belles idées. A commencer par le CEO d’Evernote qui est venu nous expliquer comment il était passé d’une petite boite à un succès planétaire.
Ce que j’aime aussi, ce sont les guru US tel que Jeremiah Owyang, certainement l’un des plus talentueux (et le moins pipoteur) avec Brian Solis interviewé ici par la charmante Blonde 2.0.
Henry Seydoux, le boss de Parrot est venu nous faire la démo de sous joli joujou ARDrone
Une fois n’est pas coutume, c’est @cath_woman qui m’a interviewé pour France Télévisions, j’en ai profité pour lâcher deux trois vérités sur les blogueurs. Il faut arrêter l’hypocrisie.
Par contre, la soirée avec Bob Sinclar je n’en ai rien vu, trop de neige dehors, pas de taxi, tout le monde est rentré à pieds et toi tu serait mort congelé.
Bref, cette année c’était vraiment l’année de la « maturité ». Ne sois pas jaloux, tu aurais eu très froid, je te connais. Dis toi que tu vas pouvoir te regarder tout ça tranquillement au coin du feu sur ton iPad, toutes les interventions sont disponibles sur YouTube.
Bises
Dam
By Damien Douani • Découvertes, tendances et société • 0 • Tags: check my metro, LeWeb, leweb10, pearltrees
Déc 9 2010
La fin d’année est toujours un moment propice aux grands rassemblements d’hiver et variés parlant de web et médias numériques. L’intérêt de ce type de conférences est de sentir la « tendance » et les préoccupation du moment des « professionnels de la profession ».
Côté LeWeb, ça donne le thème des plateformes, sujet finalement assez générique mais qui donne une bonne vision du sens qu’est en train de se donner le web avec des zones d’attractions applicatives et agrégatives comme certains OS ou Facebook.
Mais un autre sujet a attiré mon attention : cachée juste le lendemain de LeWeb (les 8 et 9 décembre), la conférence Monitoring Social Media (vendredi 10 décembre à Paris) reprend une partie des intervenants de la conférence de Loic le Meur pour un sujet très différent : la surveillance des médias sociaux.
Ahhhhh… Voilà LA question qui revient tout le temps dès que l’on parle de réseaux et médias sociaux grand public (facebook, twitter, blogs…) et professionnels (Jive, blueKiwi, SocialText…) : c’est quoi le retour sur investissement de tout ça ?
Autant vous dire que les marketeurs de tous poils se les arrachent pour essayer de répondre à cette question posée par absolument TOUTES les marques et les annonceurs. Autant vous le dire, posée comme cela la question me fout des boutons car c’est bien souvent un a-priori de défense vis-à-vis d’un modèle que ne comprennent pas les annonceurs car ils ont une sensation de perte de contrôle. Ils ont peur, au choix : que leur message soit déformé, que leur marque soit détournée, leur campagne ridiculisée, bref que les gens osent dire des gens.
Hey ! Mais c’est la vraie vie les gars, ce que se racontent les gens autour d’une table quand ils parlent de leur dernier achat ! Va falloir apprendre à lâcher prise et se dire que le net peut apporter aussi de belles choses à une campagne de communication (la reconnaissance, l’inscription dans le temps, de la réputation…), et surtout vus dire que si vous faites une campagne sympa et originale au pire ça ne marchera pas, au mieux ça cartonnera. Mais elle ne sera pas forcément étrillée.
Mais revenons à la question : alors, c’est quoi le ROI des médias sociaux ? Traduction : « quel intérêt ai-je à aller sur ces trucs où les gens se parlent, parce qu’en plus il va me falloir les écouter et leur répondre, ça va me bouffer des ressources tout ça ! ». Ben oui. Bienvenue dans le web 2.0.
Ok, c’est vrai. La vérité est que tout est à faire, et qu’évaluer un retour financier immédiat sur une campagne est difficile. Faisable, mais difficile car non immédiat, diffus, s’étalant dans le temps…
Donc, regardons ce que les spécialistes de la question proposent en attendant. Si l’on prend Brian Solis, l’une des personnes les plus en pointe sur le sujet et qui ne soit pas un bullshiteur en chef,
Les médias sociaux inspirent une nouvelle forme d’intelligence. Avec l’abondance des outils d’écoute et de surveillance disponibles aujourd’hui sur le marché, les entreprises ont accès à des informations et une veille en temps réel. Pouvoir savoir qui dit, pense et partage des informations motive les entreprises à créer des infrastructures visant à découvrir et suivre les conversations qu’elles jugent dignes d’intérêt. Mais écouter n’est pas suffisant. (…) Le futur repose dans la capacité à initier les conversations, et non pas juste y répondre. C’est un « clic pour action » et la capacité d’inspirer l’action et de la mesurer doit être au centre de toute l’activité online. Les entreprises, en intégrant la performance et les systèmes de mesure pourront progresser vers une nouvelle posture de leadership. C’est pourquoi les entreprises commencent à rentrer en compétition pour le partage des idées et des sentiments et pour conserver une pertinence d’analyse dans le temps.
Ce passage résume bien l’enjeu pour les entreprises. Ici, point de promesses de revenus immédiats via les conversations, pas d’augmentation des vente automatique. On va commencer par le commencement : chères entreprises, commencez par apprendre à écouter. Mais vraiment. En mettant des personnes dédiées et formées à cela, et pas pour 6 mois le temps d’un stage. Non, un vrai poste.
Commencez dans le même temps à mesurer. Mesurer quoi ? Ce qui se dit, les récurrences, comment l’information se diffuse dans le temps. Prenez votre temps, le powerpoint pour votre COMEX attendront un peu.
D’où les demandes des entreprises. D’où la volonté de Facebook ou Apple d’ériger un modèle semi-ouvert (sous formes de plateformes, on y revient) où sont les maîtres des données. Le web étant, par nature et essence, très décentralisé, la récolte des informations et la mesure globale sont d’autant plus difficiles à gérer. pas impossible, mais complexe. D’où la tendance à avoir des modèles plus puissants qui gardent une partie des données. Mais on final on en revient au même : surveillance généralisée.
S’il y a une bonne question à se poser, c’est celle-ci. Arrêtons de vouloir poser comme pré-requis de vouloir du ROI ou des tonnes de mesure, la seule question qui vaille est « pour quoi mesurer ? = quels sont vos objectifs ? ». En fonction de ce que vous voulez atteindre, inutile de prendre quatre pages de tableau excel, quelques métriques judicieusement choisies peuvent suffire. A ce moment là, oui il faudra surveiller et mesurer, mais à bon escient.
Alors, bien sur, reste la question « et si je n’ai pas envie d’être mesuré ». Soyons conscients et honnête : si tous ces services sociaux existent, c’est que la mesure et la vente des données permet d’assurer leur vie.
A moins que Diaspora…
By Damien Douani • Découvertes, tendances et société • 0 • Tags: médias sociaux, Monitoring Social Media
Déc 9 2010
Certains que j’ai croisé ici le savent, le Dam de Stan&Dam a été sélectionné comme blogueur officiel de #LeWeb10 (Stan n’a pas voulu faire assez de sacrifices de son corps).
Cela fait des années que je vais à cette manifestation (qui s’appelait Les Blogs à l’origine, c’est vous dire) et la première fois en tant que « blogueur officiel » (on va dire blogueur accrédité, c’est moins pompeux et surtout moins Pravda dans l’esprit).
Et c’est toujours un plaisir de s’y rendre : que l’on aime ou pas Loic le Meur, il est incontestable qu’il a su faire de sa conférence l’évènement de référence en Europe (Web 2.0 de Tim O’Relly à Berlin a eu lieu une seule fois pour cause de manque de visiteurs, c’est vous dire l’énergie qu’il faut déployer pour que cela marche).
Pour ceux qui n’y sont pas, le live et le replay sont en ligne et les vidéos sont d’excellente qualité.
Comme chaque année, mon coeur balance toujours entre assister aux conférences du Main Stage ou aller me balader du côté des start-up et discuter avec leurs fondateurs et découvrir leurs innovations. Et c’est définitivement ce que je préfère ! Sans oublier utiliser mes talents en contactologie et discuter avec des personnes que je suis le reste de l’année en virtuel sur leurs blogs, twitter et/ou facebook.
Aller à LeWeb, c’est faire preuve de patience et de stratégie : dépioter le programme, se faire une liste des confs intéressantes, jongler avec les rencontres, savoir prendre son temps… une vraie science de l’organisation 😉
Je préfère rencontrer des gens que je ne connais pas et partager sur l’avenir des médias numériques ou les derniers nanars au cinéma (mais les gens qui maîtrisent la deuxième catégorie sont plus rares).
Alors, on se croise à LeWeb10 ? Laissez moi un tweet à @damiendouani 🙂
By Damien Douani • Découvertes, tendances et société • 0 • Tags: LeWeb, leweb10
Nov 26 2010
Diaspora, c’est l’anti-Facebook. Profil privé par défaut, vous gardez le contrôle et la propriété de vos contenus, et la configuration de la sécurité de son profil est simplifiée.
Imaginé et conçu par quatre étudiants américains à New York, le site Diaspora est une réaction à Facebook. Les quatre collègues ont l’ambition de proposer aux internautes un réseau social moins intrusif et plus respectueux de la vie privée que le célèbre site aux 500 millions d’amis.
D’après les premières images dévoilées par les quatre étudiants, Diaspora présente une certaine ressemblance avec Facebook, mais dans un style beaucoup plus épuré. Le principe est le même : disposer de sa propre page avec un « mur » central pour les commentaires de ses contacts, d’une galerie de photos à partager et d’un système de mise à jour de statuts.
Côté sécurité et vie privée, l’un des points les plus décriés de Facebook, Diaspora aura un système de cryptage des informations envoyées.
Enfin, les données des membres seront hébergées directement chez les utilisateurs, et non pas sur des serveurs centralisés.
Un appel aux dons a permis de récolter quelque 200.000 dollars, contre 10.000 prévus initialement. Mark Zuckerberg, fondateur et dirigeant de Facebook, figure dans la liste des donateurs.
L’accès se fait au compte goutte et se demande ici.
By Damien Douani • Découvertes, tendances et société, Techlounge et Geekeries • 0 • Tags: diaspora
Nov 16 2010
Facbook a annoncé hier soir ça nouvelle messagerie « sociale » qui a pour but d’agréger l’intégralité des échanges entre deux personnes, qu’ils soient issus d’un chat, de SMS ou de courriels.
A ce titre, même si Facebook se défend de vouloir tuer l’e-mail (dont les poids lourds sont Hotmail et Yahoo aux USA avec à eux deux presque autant de comptes que Facebook !), il est clair que la société du petit Mark essaye de réinventer un outil vieillissant mais toujours très utilisé.
Il essaye surtout d’éviter l’écueil rencontré par Google et Wave : en clair, on vous rend d’abord service en agrégeant les conversations, et en vous donnant un outil intelligent vous permettant de trier entre messages importants (ses amis proches) et moins importants (les messages d’invitations à des groupes, des soirées, des contacts moins récurrents).
Et seulement si vous le voulez, s’ouvrir sur sa messagerie actuelle en échangeant avec les personnes qui n’ont pas Facebook.
[youtube bdzuFG6q63k]
C’est là que la mécanique virale de type « stratégie du dealer » entre en jeu : en se connectant à des personnes qui n’ont pas Facebook mais qui ont un courriel, Facebook les intègre dans sa base.
Outre grossir artificiellement le nombre d’utilisateurs potentiels, le réseau de Mark Zuckerberg va peu à peu devenir l’outil indispensable pour les deux parties (l’utilisateur de Facebook et celui de courriel), poussant l’utilisateur de courriel à aller vers Facebook car finalement « s’il était membre de cette communauté il pourrait avoir accès à bien plus sur ses amis » : photos, invitations, statuts, etc. Ce que ne manquera pas de lui faire remarquer son amis facebookien (je suis en train de faire cela avec ma petite soeur, c’est vous dire si je vois très bien la mécanique se mettre en place).
Conclusion : Facebook Mail ne veut pas tuer le mail, et c’est vrai. C’est au contraire un formidable outil de recrutement et d’évangélisation basé sur des usages de chaque côté de la barrière : « le mail c’est limité regarde tout ce que tu peux faire avec Facebook » / « Finalement ma boite mail elle est limitée et j’y reçois des tonnes de spam, sur Facebook il n’y a que mes amis qui me parlent et tout est agrégé simplement ».
Sans oublier que c’est un nouveau levier pour augmenter la captation de temps passé sur le réseau et afficher plus de pub. D’ailleurs, rien ne dit que Facebook ne va pas screener les messages à la mode Gmail pour associer des annonces de marques ou bien proposer des rapports d’usages à des marques présentes sur la plateforme.
Côté Gmail, Google a d’abord proposé Buzz, pour agréger les flux sociaux de type « statut » (twitter, friendfeed…), puis a sorti assez discrètement en septembre 2010 une boite aux lettres « intelligente », basée sur la fréquence d’utilisation et de réponse à certains messages, et triant automatiquement les messages importants ou pas pour l’utilisateur.
[youtube 5nt3gE9dGHQ&]
Mais le tri reste basé sur le contenu, pas sur les interactions sociales. C’est là qu’intervient Facebook et la force de son Social Graph, qui devient l’outil d’analyse pour classer l’information non pas en fonction de sa teneur mais de son émetteur et de sa proximité sociale.
Facebook ne veut donc pas tuer le mail mais le ré-inventer en douceur, toujours en s’appuyant sur sa force première : les usages sociaux de sa communauté de plusieurs centaine de millions de membres.
Tout en posant les incontournables questions de confidentialité des échanges, et de marchandisation de ceux-ci, Facebook ainsi en sa possession une formidable base de données qui comporte à la fois les profils des membres, les actions de ceux-ci en temps réel (statuts) ou différé (photos…), leurs goûts (I Like), leurs envies (invitations, pages de Fans), et maintenant une vision précise de qui échange fortement avec qui y compris en dehors de la plate-forme (avec, à la clé, l’affinage du graphe social, la base de l’algorithme du site).
Une mine d’or pour les marques, une datamining hallucinant, et, il faut le reconnaitre, une addiction toujours plus forte des utilisateurs qui voient leurs usages placés au centre du mécanisme. Superbe piège.
By Damien Douani • Découvertes, tendances et société • 1 • Tags: facebook mail
Nov 3 2010
Stan&Dam, ce n’est pas que de la news ou de la vidéo techno-entertainment. C’est aussi donner un coup de pouce pour des actions qui en valent la peine, comme celle-ci :
Dès le mois d’avril, l’Unicef avait lancé une campagne pour la reconstruction des écoles en Haïti, suite au puissant séisme qui avait ravagé une partie de l’île. Avec la rentrée d’octobre, l’éducation est devenue l’une des priorités numéro 1 pour l’Unicef. Désormais, il s’agit de rendre l’éducation accessible à tous les enfants du pays, y compris à ceux qui n’étaient pas scolarisés avant le séisme. Des écoles semi-permanentes ont déjà été installées, ce qui est un premier pas. Mais la reconstruction à long terme du pays repose également sur un travail autour de la santé, de l’hygiène et de l’assainissement.
Au total, 4200 écoles ont été détruites, 38 000 écoliers et 1 350 enseignants ont perdu la vie dans le séisme. Avant la catastrophe, seulement la moitié des enfants était scolarisée. Dans ce contexte, la reconstruction des écoles recouvre un double enjeu. Pour les enfants, le retour à l’école est synonyme de retour à une vie normale, encadrée par des adultes. Et pour le pays, c’est aussi la perspective de former les générations futures qui le relèveront.
[youtube GaB0KcE5cno]
Pour sensibiliser l’opinion, l’Unicef a choisi de rendre palpable l’urgence de reconstruction des écoles en Haïti. L’Unicef a collé sur les murs extérieurs de plusieurs écoles des affiches montrant des écoles haïtiennes détruites et des enfants de là-bas. Arrivant à la hauteur des enfants d’école primaire, ces enfants, grâce à un effet de trompe l’œil, paraissent très réels. Ainsi, l’impression de réalité est si forte que l’affichage suffit, à lui seul, à transformer les écoles françaises, qui participent à cette campagne, en de véritables champ de ruines. Quant aux images d’enfants haïtiens, l’effet est tel que ces derniers semblent se mélanger à leurs petits camarades français.
Le message de l’Unicef est clair : en Haïti, des milliers d’enfants attendent toujours de pouvoir retourner à l’école, de retrouver leurs camarades de classes et leurs enseignants et de retrouver une vie d’enfant. C’est grâce à l’école que ces enfants retrouveront leurs repères.
Pour voir ces affiches, rendez-vous Place des Droits de l’Enfant à Paris.
Tous les détails de l’opération en cours sont sur le blog de l’Unicef.
Merci à Eric de m’avoir attiré l’attention sur cette initiative pilotée par Ogilvy.
By Damien Douani • Découvertes, tendances et société • 0 • Tags: haiti, unicef
Nov 1 2010
Data Robotics a eu la gentillesse via TouchdownPR de nous prêter un Drobo FS.
Drobo est un Network Attach Storage: Un stockage en réseau NAS, ou un NAS est un serveur de fichiers autonome, reliée à un réseau dont la principale fonction est le stockage de données en un volume centralisé pour des clients réseau hétérogènes. (WIKIPEDIA).
La particularité de ce NAS réside dans son système de stockage et d’application.
Concernant le stockage, le Drobo FS se présente dans le réseau comme une unité de 16 Téra (sans se préoccuper du nombre et de la capacité des disques qui sont insérés).
Il est possible d’insérer un maximum de 5 disques qui vont s’agréger dans une grappe. Dans la configuration de base, il est possible d’avoir une panne sur 1 disque. Via la console de gestion, il devient possible au détriment d’une réduction de capacité d’avoir une panne sur 2 disques.
Là où le Drobo se distingue vraiment de la concurrence, c’est dans sa capacité à supporter une grappe très hétérogène. On peut installer dans le Drobo des disques de capacités différentes sans que la grappe ne s’aligne sur la plus petite capacité. Dans un RAID classique, si on ajoute à 3 disques de 1 Téra, un disque de 2 Téra, ce dernier sera vu comme ne faisant qu’un seul Téra.
Le Drobo sait faire la différence et agréger correctement toutes les tailles de volume.
En plus, le Drobo est capable « à chaud » d’adapter sa taille. Si vous retirer un disque de 1 Téra pour ajouter un disque de 2 Téra, immédiatement cette nouvelle capacité est prise en compte. Il est même possible petit à petit de changer tous les disques d’une grappe pour en augmenter la capacité globale.
Bref une bien belle machine en vidéo ci-dessous.
[youtube 2RmUp2yQ4Eo]
By Stanislas Khider • Découvertes, tendances et société • 3 • Tags: data robotics, drobo fs, NAS, test
Déc 24 2010
Les Craypion d’Or 2010 : le palmarès
Voici le palmarès complet, à retrouver avec liens + descriptifs sur lescraypiondor.com :
Craypion d’or 2010
Maisey-le-Duc
Site internet de l’année
Désirs d’avenir v1.0
Meilleur blog de l’annéev
Pascal Cardonna
Site institutionnel / politique de l’année
Maisey-le-Duc
Buzz en ligne de l’année
Mixbeat
Meilleur espoir pour la conquête d’internet
Gabriel Adam
Site e-consulting de l’année
Tatayoto web design
Article de presse en ligne de l’année
L’amour impossible: « Elle a 15 ans, lui en a 43 et pourtant ils s’aiment » (La nouvelle Gazette)
Artiste de l’année
Jean Michel du 59
Vidéo d’entreprise de l’année > mon préféré !!!
Verandanet
Meilleur scène d’ordinateur au cinéma (en partenariat avec Vodkaster)
Fraude à la Paintbox, extrait du film « Association de malfaiteurs » de Claude Zidi
Site d’entreprise de l’année
Soirée Fiesta
Le Craypion d’Or 2010 est remis au site ayant recueilli le plus grand nombre de votes. Il revient cette année au site du village de Maisey-Le-Duc, 108 habitants, situé à 80 km de Dijon. Véritable outsider à la base devancé par le site Désirs d’avenirs de Ségolène Royal, ce site au coeur d’une lutte fratricide entre villages du Chatillonais bien couverte par la presse locale n’a pas volé sa victoire.
By Damien Douani • Cinéma loisir & portnawak, Découvertes, tendances et société • 0 • Tags: craypion, nanars