Comme vous le savez tous, Google Reader va disparaitre le 1er juillet 2013.
A quoi ser(vai)t Google Reader ?
C’est un lecteur WebApp de flux d’informations au format RSS.
Le flux RSS est (normalement) produit à chaque fois qu’un article est écrit sur un site ou un blog (ou n’importe quoi d’ailleurs).
Lorsqu’un article est écrit (comme celui-ci sur Stan & Dam) un fichier XML est produit. Dans notre cas, le fichier contient l’article complet et son titre. Ce fichier ne contient pas de présentation. Il s’agit de données brutes.
Il devient possible de s’abonner au fichier XML via un sigle généralement orange qui, dans le cas de S&D, se trouve en haut à droite.
Google Reader peut (encore) s’abonner à ce fichier XML et regarde régulièrement s’il est mis à jour.
Google Reader permet d’agréger plusieurs abonnements à ces fichiers XML pour fabriquer une liste d’information qui se met à jour en temps réel.
Là où le produit est magique, c’est parce qu’il existe un écosystème complet d’applications qui gravitent autour de Google Reader.
Je vous donne mon cas de lecteur RSS compulsif.
J’ai 367 abonnements que j’ai classés dans des sous-dossiers (Tech, Multimédia, info, etc …).
Je peux lire ces flux sur Google Reader sous forme de listing. Ce que je fais le plus souvent, c’est de sélectionner un dossier pour en lire le listing de news. Si une news m’intéresse soit je l’ouvre directement, soit dans Google Reader je coche l’icône Pocket (via le plug-in Firefox) pour le lire plus tard.
Une fois la fin du dossier atteinte, je marque le dossier comme « lu ».
Le but du jeu est que Google Reader soit vide.
Une fois fait, je fonce sur Pocket pour lire l’info plus calmement (je ne suis plus sur le tri de news).
De Pocket, je peux : marquer l’article comme lu, lui mettre une étoile pour le partager sur un blog (ce que je vais surement faire pour S&D) ou surtout l’envoyer dans le dossier à traitre d’Evernote (résultat entre les tutos, les infos, les « trucs » à lire, à voir et que je voudrais acheter … j’ai plus de 6500 notes. Gloups)
Là où tout devient « génial », c’est que sur iPad, iPhone, Windows 8, j’ai des applications qui se connectent à Google Reader. Ce que j’ai lu sur un PC, je ne le reverrais pas sur une tablette ou un smartphone et inversement l’iPad vide Google Reader pour que je ne sois pas polluer au bureau dans Firefox avec des infos déjà lues.
C’est là à mon sens la fulgurance du système. Par exemple, sur iPad, j’utilise Reeder pour lire, envoyer sur Pocket ou directement sur Evernote.
OK, c’est gymnastique représente bien 2h par jour de veille.
Maintenant que Google Reader est presque mort que faire quand on est un RSS junky ?
Je vous le dirais dans un prochain article ! J
Avr 30 2013
Pourquoi j’ai remplacé Google Reader !
Comme vous le savez tous, Google Reader va disparaitre le 1er juillet 2013.
A quoi ser(vai)t Google Reader ?
C’est un lecteur WebApp de flux d’informations au format RSS.
Le flux RSS est (normalement) produit à chaque fois qu’un article est écrit sur un site ou un blog (ou n’importe quoi d’ailleurs).
Lorsqu’un article est écrit (comme celui-ci sur Stan & Dam) un fichier XML est produit. Dans notre cas, le fichier contient l’article complet et son titre. Ce fichier ne contient pas de présentation. Il s’agit de données brutes.
Il devient possible de s’abonner au fichier XML via un sigle généralement orange qui, dans le cas de S&D, se trouve en haut à droite.
Google Reader peut (encore) s’abonner à ce fichier XML et regarde régulièrement s’il est mis à jour.
Google Reader permet d’agréger plusieurs abonnements à ces fichiers XML pour fabriquer une liste d’information qui se met à jour en temps réel.
Là où le produit est magique, c’est parce qu’il existe un écosystème complet d’applications qui gravitent autour de Google Reader.
Je vous donne mon cas de lecteur RSS compulsif.
J’ai 367 abonnements que j’ai classés dans des sous-dossiers (Tech, Multimédia, info, etc …).
Je peux lire ces flux sur Google Reader sous forme de listing. Ce que je fais le plus souvent, c’est de sélectionner un dossier pour en lire le listing de news. Si une news m’intéresse soit je l’ouvre directement, soit dans Google Reader je coche l’icône Pocket (via le plug-in Firefox) pour le lire plus tard.
Une fois la fin du dossier atteinte, je marque le dossier comme « lu ».
Le but du jeu est que Google Reader soit vide.
Une fois fait, je fonce sur Pocket pour lire l’info plus calmement (je ne suis plus sur le tri de news).
De Pocket, je peux : marquer l’article comme lu, lui mettre une étoile pour le partager sur un blog (ce que je vais surement faire pour S&D) ou surtout l’envoyer dans le dossier à traitre d’Evernote (résultat entre les tutos, les infos, les « trucs » à lire, à voir et que je voudrais acheter … j’ai plus de 6500 notes. Gloups)
Là où tout devient « génial », c’est que sur iPad, iPhone, Windows 8, j’ai des applications qui se connectent à Google Reader. Ce que j’ai lu sur un PC, je ne le reverrais pas sur une tablette ou un smartphone et inversement l’iPad vide Google Reader pour que je ne sois pas polluer au bureau dans Firefox avec des infos déjà lues.
C’est là à mon sens la fulgurance du système. Par exemple, sur iPad, j’utilise Reeder pour lire, envoyer sur Pocket ou directement sur Evernote.
OK, c’est gymnastique représente bien 2h par jour de veille.
Maintenant que Google Reader est presque mort que faire quand on est un RSS junky ?
Je vous le dirais dans un prochain article ! J
By Stanislas Khider • Dossiers, analyses et tests • 0 • Tags: google, reader, utilisation