VMware: Pourquoi j’ai virtualisé mon chez moi (la suite)

La suite tant attendue

Donc je parlais de VMWARE et plus particulièrement ESXI.

ESXI est un hyperviseur bare metal. Oh mon dieu qu’est-ce donc me direz vous ?
ESXI n’est rien d’autre qu’un Linux (CENT OS) très spécial (en fait ce n’est pas vraiment un Linux parce que VMWARE a beaucoup modifié l’OS).

Encore au-dessus de ce CENT OS, il y a VMWARE ESXI : virtualiser sur la base de ma machine physique des machines virtuelle. Je peux donc faire tourner sur une machine physique plusieurs version de Windows, Linux et même MacOS mais c’est interdit.
ESXI, une fois installé, ne présente qu’une interface texte et rien d’autre. Il est juste possible de configurer l’adresse IP de la carte réseau principale.
Il faut sur une machine physique et réelle sous Windows installer Vsphere qui est le client pour ESXI. Ca devient compliqué je sais.

Avec vSphere, je donne l’adresse IP de mon ESXI et magie … l’ESXI se présente dans une arborescence et la magie peut commencer.
Pour créer une machine virtuelle, il suffit de cliquer dans ESXI pour paramétrer une machine (une sorte de Surcouf virtuel). Une fois la machine créée, j’assigne une image ISO de Windows par exemple. La machine virtuelle démarre avec son BIOS puis vois l’image ISO (moi je vois tout cela dans une console qui est une sorte de fenêtre sur l’ordinateur virtuel comme si j’étais en face d’un ordinateur neuf). Il ne reste plus qu’à installer Windows.serveur.jpg

Au final, j’ai installé sur mon ESXI (dans mon sous sol) : 2 Windows Server 2012, 4 Windows Server 2008R2 et 1 Windows 8. En plus, j’ai d’autres machines « dormantes » (c’est ç dire installées mais eteintes).